L’une des scènes de The Suicide Squad est inspiré d’un célèbre jeu vidéo, comme le confie James Gunn.
James Gunn a largement fait oublier le Suicide Squad de 2016 avec son reboot/suite, The Suicide Squad. Le cinéaste amène une nouvelle équipe d’antihéros pour la Task Force X sur l’île de Corto Maltes. Et alors que ce dernier explique qu’écrire Harley Quinn a été un honneur, un autre média l’a largement inspiré pour l’une des scènes fortes du personnage. Ce jeu, c’est Lollipop Chainsaw. Un titre développé par Suda51, sorti en 2012, suivant une pom-pom girl du lycée de San Romero en Californie. La jeune fille, fêtant ses 18 ans, doit gérer une apocalypse zombie pour sauver le monde. Un véritable succès avec un million d’unités vendues.
Attention, les lignes à suivre révèlent des éléments de l’intrigue de The Suicide Squad.
James Gunn a joué à Lollipop Chainsaw au Japon
Dans The Suicide Squad, Harley Quinn est torturée par le dictateur de Corto Maltese. Mais alors que son bourreau pense qu’elle est inconsciente après plusieurs électrochocs, la femme se relève. Elle s’enfuit alors dans un couloir et utilise son javelot pour massacrer tous les soldats. Pendant le combat, des fleurs et autres animations apparaissent, des petits oiseaux… Un choix artistique dénotant avec le gore et la violence de ce passage, le meilleur mettant en scène Harley Quinn selon les fans. Et en interview pour Collider, James Gunn confie que ce moment est inspiré de Lollipop Chainsaw, sorti sur PS3 et Xbox 360.
J’ai joué à Lollipop Chainsaw et j’ai toujours apprécié ce genre. Dans ce jeu, que j’ai fait au Japon, j’adore comment les cœurs et les belles petites choses jaillissent des personnages, mélangés à du sang. C’est donc une inspiration, cette esthétique, ce mélange entre l’horrible gore et comment Harley Quinn voit le monde. Elle a des étoiles dans les yeux, c’est la Harley-Vision. C’est un élément apparu très tôt pendant l’écriture du scénario.
– James Gunn
Pour le moment, The Suicide Squad est une réussite critique. Aussi bien pour les spectateurs que la presse. Un accueil positif après le raté de 2016 avec le film dirigé par David Ayer.
Source : ScreenRant