Reprenant un design séduisant, solide, et épuré, le MacBook Air 15 pouces offre une dalle élargie et de qualité, pour concilier ultraportabilité et confort.
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Oubliez, le Vision Pro, le premier casque de réalité mixte d’Apple, qui a retenu toute l’attention lors de la WWDC 23, début juin. En inventant au passage le concept autant technique que commercial de Spatial computing, le géant de Cupertino a tout fait pour que ce nouveau produit soit au centre de l’attention.
Prix et disponibilité
Néanmoins, il ne faut pas oublier qu’Apple a introduit une salve de nouveaux Mac. Apple a tout d’abord présenté, le Mac Pro, pour enfin boucler la transhumance de ces machines vers ses propres puces Apple Silicon, mettant ainsi un terme à l’ère Intel débutée en 2005. Ensuite, un Mac Studio mis à jour, et, enfin, et surtout, un MacBook Air « géant », celui que nous testons ici, une configuration à 1 599 euros, son prix de départ, qui est d’ores et déjà disponible sur l’Apple Store en ligne ou bien sûr en magasin.
Quelles caractéristiques techniques pour le MacBook Air 15 pouces
Notre configuration de test est celle d’entrée de gamme. Elle embarque donc 8 Go de RAM. Le maximum de RAM supporté par le M2, qu’on retrouve au cœur des MacBook Air, est toujours de 24 Go de mémoire unifiée (pour 460 euros de plus). Cette dernière option n’est clairement pas nécessaire pour tout le monde. En revanche, si vous avez tendance à ouvrir beaucoup d’onglets dans votre ou vos navigateurs, à utiliser de nombreuses applications en même temps ou à lancer des programmes exigeants, nous aurions tendance à vous recommander d’opter pour 16 Go de RAM (moyennant 230 euros supplémentaires). Le choix lors de l’achat est d’autant plus important qu’il n’est plus possible d’ajouter ou de modifier la mémoire a posteriori.
Depuis le passage aux puces Apple Silicon, l’évolutivité des Mac est encore plus réduite qu’avant. Il est donc essentiel d’anticiper vos besoins présents et à venir.
A nos yeux, les 16 Go ont d’autant plus d’intérêt que les programmes qui sollicitent le Neural engine intégré au M2 vont se multiplier et solliciter toujours plus la mémoire. Délaisser les 8 Go, c’est donc autant la certitude de plus de confort maintenant, mais aussi une relative garantie de sérénité sur le long terme.
Pour ce qui est du stockage, les 256 Go de notre machine de test sont évidemment un peu étriqués. Néanmoins, si votre MacBook Air est essentiellement une machine à écrire 2.0, cela devrait faire l’affaire. En revanche, si vous ambitionnez de profiter du M2 et de réaliser quelques montages vidéo, d’éditer des photos ou même, pourquoi pas, de jouer aux quelques jeux disponibles sur macOS, mieux vaudra retenir l’option 512 Go (+230 euros).
Caractéristiques technique de notre modèle de test :
- Processeur : M2 8 cœurs CPU – 10 cœurs GPU – 16 cœurs Neural Engine
- Ecran : 15,3 pouces LCD IPS
- Mémoire : 8 Go
- Stockage : 256 Go
- Webcam : FaceTime HD
- Connexion sans-fil : Bluetooth 5.3, Wi-Fi 6
- Connectique : 1x MagSafe, 2x Thunderbolt/USB 4, 1x minijack
- Dimensions : 34,04 x 23,76 x 1,15 cm
- Batterie : 66,5 Wh
Intéressons-nous maintenant brièvement à la puce M2. C’est la même que celle qu’Apple a introduit l’an dernier, en juin, lors de la WWDC 22. Néanmoins, bonne nouvelle, le modèle 15 pouces a droit à la meilleure version du M2. On a donc entre les mains celle qui intègre huit cœurs pour la partie processeur, réparti en deux lots de quatre cœurs, haute performance et basse consommation, et dix cœurs GPU. C’est ce SoC qui équipe aussi les MacBook air 13 pouces haut de gamme. Pour mémoire, il contient également un nouveau media engine, qui facilite grandement la vie dès qu’on touche à la vidéo, que ce soit pour les lire ou pour les éditer. Avant de nous intéresser à l’écran, faisons un petit point sur le design.
Design : le même, en grand
En juin 2022, après une première génération de MacBook Air M1, lancée en novembre 2020 sans changement du point de vue du boîtier, Apple a revu le design de son ultraportable phare. Le MacBook Air 15 pouces arbore le même design que celui introduit par son petit frère l’an dernier. Le boîtier en goutte d’eau est donc toujours remplacé par un ensemble en aluminium recyclé, inspiré de celui des MacBook Pro. La finition est toujours remarquable, et rarement voire pas égalée. L’impression de solidité est indéniable et on l’utilise en confiance sans jamais ressentir la moindre forme de fragilité.
Cette sensation est renforcée par l’épaisseur identique sur toute la profondeur. Il faut bien avouer que cette approche renforce également l’impression de finesse de l’ensemble. Alors qu’il est légèrement plus épais que le modèle 13 pouces (1,15 contre 1,13 cm), on jurerait qu’il l’est moins.
Par ailleurs, son poids de 1,51 kg lui permet d’être encore considéré comme un ultraportable. On arrive encore à le porter à bout de bras, sans trop de souci, même s’il faudra alors bien assurer sa prise en main.
Une chose est certaine avec son boîtier de 34,04 cm de large pour 23,76 cm de profondeur, le MacBook Air 15 pouces trouve encore à se loger sans trop de problème dans la plupart des sacs à dos. Un détail qui a son importance.
Par ailleurs, les proportions de l’ensemble sont parfaitement respectées. Les bordures autour de l’écran sont toujours relativement discrètes, à défaut d’être les plus fines du marché. En haut, on trouve l’encoche qui a tant fait parler d’elle lors de son introduction avec les MacBook Pro 14 et 16 pouces en 2021. Elle n’est pas réellement gênante, puisqu’elle disparaît dans une bande noire dès qu’une application est ouverte en plein écran. Le reste du temps, elle laisse de la place de chaque côté pour les entrées des différents menus ou l’accès au Centre de contrôle.
Juste en dessous de l’écran, on retrouve l’excellent clavier Magic, qui remplace les claviers papillon depuis quelques années maintenant. La course stable, courte et assez ferme des touches est plaisante. Elle assure une frappe confortable. Le rétroéclairage est bien pensé, sans éblouissement ou luminosité trop faible. Difficile de retenir une minuscule grimace d’agacement toutefois à la mention de la touche Fn, qui sert aussi à invoquer la fenêtre des emojis – or, nous sommes de ceux qui l’utilisent pour transformer la touche Retour arrière en Suppr… On salue en revanche le bouton Touch ID, toujours aussi efficace pour déverrouiller une session ou valider un achat.
Le trackpad est gigantesque. Sa taille croît proportionnellement à la dalle – ceci explique cela. Vous pourrez donc facilement réaliser des gestes à plusieurs doigts, pour zoomer, faire tourner une image, basculer d’un espace de travail à un autre, etc.
Tout n’est pas parfait, néanmoins. On ne pourra s’empêcher de regretter qu’Apple n’ait pas profité de ce boîtier plus vaste pour ajouter un peu de connectique. Du côté droit, on trouve toujours le connecteur MagSafe, et deux ports Thunderbolt/USB 4. C’est peu. Et on doit reconnaître qu’il aurait été bienvenu d’avoir un port côté gauche, à côté de la prise casque, pour permettre la recharge par ce côté-ci. Hélas, il semble clair qu’Apple réserve la diversité des connecteurs à ses machines pro.
Enfin, faisons un petit point sur la Webcam, qui se niche avec quelques capteurs de lumière ambiante dans l’encoche. Il est loin le temps où les Webcam étaient désastreuses sur les MacBook. En l’espèce, la qualité vidéo est bonne en pleine lumière, avec des contours précis, une très bonne netteté. Evidemment, pas de miracle, quand la luminosité ambiante baisse, le bruit fait son apparition, encore que ce soit de manière plutôt mesurée.
Ecran, un Liquid Retina de base
Depuis ses origines, l’ultraportable qui a défini ce marché s’était contenté d’une dalle de 13 pouces – ou de 11 pouces, un modèle plus compact porté disparu depuis 2016. Toutefois, depuis quelque temps déjà, la rumeur voulait qu’un MacBook Air plus grand soit en préparation.
Une évolution logique, qui suit la tendance du marché. Les PC ultraportables sont en effet de plus en plus nombreux à franchir le cap des 14 pouces et, pour les plus grands, à flirter avec les 16 pouces, voire plus, on pense notamment aux excellents LG Gram.
Voir le MacBook Air grandir est donc dans l’air du temps et un bon moyen, pour Apple, de compléter la gamme des MacBook. Le Air 15 pouces étend le potentiel de séduction et de confort de l’ultraportable, et empiète davantage sur la gamme des MacBook Pro. Or Apple aime les recouvrements de ce genre.
Avec sa définition de 2 880 x 1 864 pixels, pour une résolution de 224 pixels par pouce, la dalle Liquid Retina (LCD IPS) offre clairement bien plus d’espace d’affichage que celle du MacBook Air 13 pouces (2 560 x 1 664 pixels). Néanmoins, on aurait aimé qu’Apple fasse un peu mieux. Rien de rédhibitoire, juste l’envie de voir cet écran 15 pouces s’approcher davantage de la définition de 3 024 x 1 964 pixels du MacBook Pro 14 pouces.
Bien entendu, le MacBook Air étant une machine grand public, il n’a pas droit à la technologie de rétroéclairage microLED, et donc à l’appellation XDR. Apple annonce une luminosité de 500 cd/m2. Nos relevés lui accordent 485 cd/m2, ce qui est proche de la valeur annoncée, même si on aurait pu espérer davantage. Cela permet en tout cas de travailler dans un environnement lumineux, mais pas forcément en plein soleil. Il faudra donc ruser si vous vous retrouvez à utiliser le MacBook Air 15 pouces sur un transat, les doigts de pieds en éventail.
Le taux de contraste, lui, est très honnête et assure des noirs profonds – pas autant que sur une dalle OLED ou microLED, c’est entendu. Notre sonde a mesuré un contraste de 1322:1. Les rumeurs en provenance de Ross Young, expert de la chaîne d’approvisionnement des dalles envisagent un passage prochain à des dalles OLED, ce ne serait pas un mal. Non pas que les écrans des MacBook Air soient mauvais, mais si Apple veut continuer à offrir ce qui se fait de mieux, il va falloir qu’il colle à la tendance du marché.
Par ailleurs, comme souvent la précision colorimétrique des écrans qui équipent les ordinateurs d’Apple est excellente. Nous avons mesuré un Delta E de 1,83, ce qui devrait tromper les yeux les plus avertis, puisqu’on considère qu’en dessous d’un indice de 2 l’œil humain ne fait plus la différence entre la vraie couleur et sa reproduction.
Pour en finir avec la dalle, rappelons qu’elle a droit à l’appellation P3, qui signifie donc qu’elle couvre un gamut venu du cinéma bien plus large que celui du sRGB. Par ailleurs, la technologie True Tone veille aussi au grain, pour adapter la couleur, la chaleur de l’affichage à la luminosité ambiante. Cela permet notamment de réduire l’émission de lumière bleue quand l’éclairage de la pièce où vous vous trouvez est plus discret, tamisé. Vos yeux vous remercieront.
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Processeur : le M2 dans ses œuvres
Avec ses puces Apple Silicon, le géant californien s’offre des SoC sur-mesure. Le M2 est le processeur destiné aux Mac grand public, et aux iPad Pro. En 2020, le M1 donnait déjà largement assez de puissance pour tous les usages du quotidien, à l’exception peut-être du jeu vidéo – encore que sur Mac le problème ne soit pas tant la puissance disponible que la maigreur anémique du catalogue, et ce malgré Apple Arcade. Mais les choses pourraient bientôt changer avec les nouveaux outils de portage annoncés lors de la WWDC 23.
Au quotidien, le M2 n’est jamais pris en défaut que vous surfiez, jongliez avec des fichiers Excel lourds, des photos volumineuses ou même des fichiers 4K nombreux et massifs. Bien sûr, le MacBook Air n’est pas pensé pour devenir une station de montage vidéo ou une machine de gaming, il reste un ultraportable. Néanmoins, il assure suffisamment de puissance pour vous essayer à tout cela. Mieux encore, il le fait dans un silence religieux. Comment autrement, puisque le MacBook Air n’embarque aucun ventilateur. Cela implique évidemment que si l’effort est conséquent et dure longtemps, la puce réduira sa puissance pour ne pas trop chauffer, mais, à franchement parler, nous n’avons pas réellement rencontré cette situation, mis à part avec quelques tâches d’édition vidéo 4K et… 8K. Autant dire que pour les tâches de tous les jours, ce devrait être un bonheur à déguster sans un bruit. Une habitude qu’on a vite prise avec les smartphones et qu’on découvre avec les PC depuis l’arrivée des puces ARM.
Si on veut mettre quelques chiffres sur les performances de cette puce, il peut être amusant de comparer le MacBook Air 15 pouces M2, à son équivalent 13 pouces, à son prédécesseur équipé d’un M1, et enfin au dernier MacBook Air que nous ayons testé avec un processeur Intel, le Core i5-1030NG7, en avril 2020. Un bon moyen de couvrir les dernières générations et de voir ainsi ce que vous avez à gagner si vous souhaitez renouveler votre machine.
Nous allons d’abord utiliser Geekbench pour établir des comparaisons synthétiques.
Les résultats de cet outil de tests se divisent en trois parties, on s’attardera essentiellement sur la partie multicoeur et la partie Compute, qui mesure notamment les performances de la partie graphique.
Il est assez aisé de voir que les promesses de progression générationnelle d’Apple entre M1 et M2 sont tenues. Mais, il est surtout assez fulgurant de voir la différence avec le dernier modèle Intel. Bien entendu, il faut garder en tête qu’il s’agissait d’un Core i5 de dixième génération, néanmoins si vous vous demandez ce que le M2 pourrait vous apporter, c’est environ 311% de performances en plus côté multicoeur (+126% en single core) et presque 200% en plus pour la partie graphique. Autrement dit, n’hésitez pas. D’autant qu’Apple a très joliment réussi sa transition logicielle des processeurs Intel à ses SoC Apple Silicon, grâce au génial Rosetta 2, qu’on a parfois tendance à oublier maintenant que les applications sont de plus en plus souvent natives.
Si vous voulez vous frotter à des chiffres tirés du quotidien, comparons les performances de ces mêmes quatre configurations au travers de cinq cas d’usage : Office (manipulation et édition de gros fichiers Word et Excel), Finder (Duplication et Archivage d’un gros ensemble de fichiers, iMovie (exportation d’un film 4K), Handbrake (conversion d’un fichier), et enfin Photoshop, le plus populaire des outils pro pour l’application d’un ensemble de corrections, filtres et effets à des images de grosse taille.
Le tableau ci-dessus parle de lui-même. Avec une régularité de métronome, le M2 fait mieux que le M1 et écrase littéralement le MacBook Air de début 2020. Logique, c’est entendu, mais c’est la preuve que le pari des puces ARM est une réussite pour Apple. C’est aussi le feu vert que vous attendiez peut-être encore pour sauter le pas. Sachant que le MacBook Air 15 pouces, comme tous les Mac Apple Silicon, offre les mêmes performances qu’il soit branché au secteur ou sur batterie. Et ça, très peu de PC portable Intel ou AMD peuvent s’en vanter. En tout cas, aucun ne coche autant de cases, de la performance à l’endurance en passant par la qualité de finition. Le MacBook Air 15 pouces est une machine remarquable, pour qui supporte d’être loin de Windows…
Autonomie : merci ARM !
Pour son MacBook Air 15 pouces, Apple promet une autonomie de 15 heures en surf sur le Web et de 18 heures en streaming vidéo, soit exactement les mêmes chiffres que ceux avancés pour le modèle 13 pouces. Avec une dalle bien plus grande, il est évident qu’il a fallu faire un effort du côté de la batterie. Et justement, le boîtier plus vaste permet au 15 pouces d’embarquer une batterie lithium-polymère de 66,5 Wh, contre 52,6 Wh pour le MacBook Air 13 pouces.
Lors de notre test en streaming d’une vidéo 4K, nous avons relevé une autonomie de 12h54, ce qui est très bon. Sachant que, quand vous utilisez le MacBook Air 15 pouces et sauf usages particulièrement gourmands qui sollicitent beaucoup la puce, vous devriez réussir à tenir une journée de travail loin d’une prise de courant. Une fois encore la « magie » du rapport performance/Watt des puces Apple Silicon fonctionne à plein.
Et c’est tant mieux, car Apple propose par défaut un chargeur de 35 W. Cet adaptateur secteur a pour lui d’être compact et d’offrir une deuxième connecteur USB-C si vous souhaitez recharger un iPhone, par exemple, en même temps que votre MacBook Air. C’est un bon moyen d’éviter de monopoliser un port Thunderbolt, si vous voyagez léger, sans votre chargeur MagSafe. Néanmoins, la faible puissance du chargeur ne lui permet pas de renflouer la batterie du MacBook Air 15 pouces très rapidement. Il met 65 minutes pour atteindre les 50% et près de 2h40 pour 100%. Heureusement, Apple offre en option (gratuite, cela mérite d’être signalé…) un chargeur de 70 W. Nous avons rechargé notre MacBook Air de test avec un chargeur 67 W et obtenu 50% de charge en 35 minutes environ pour une batterie pleine en 115 minutes.
Si vous avez vraiment besoin d’un port USB-C en plus, le chargeur 35 W est donc un bon choix, pour le reste, nous aurions tendance à vous recommander d’opter pour le modèle le plus puissant et le plus rapide. Dommage qu’Apple ne propose pas une fusion de ces deux options pour concilier praticité et rapidité…
Notre verdict
- Le design solide et épuré
- La surface d’affichage très confortable
- Les performances du M2
- L’autonomie exceptionnelle
- Le prix qui monte vite
- L’évolutivité inexistante
- Le prix de l'option 16 Go
Le MacBook Air 13 pouces 2022 était une réussite, le MacBook Air 15 pouces de 2023 rejoue la même main avec plus de confort grâce à une dalle plus grande. Le M2, toujours à la manœuvre, assure plus de puissance qu’il n’en faut pour un ultraportable. Bref, le MacBook Air 15 pouces est le chaînon qui manquait entre les 13 pouces grand public et les 14 et 16 pouces Pro. Une excellente proposition, dont on regrette juste le prix qui grimpe vite et la non-évolutivité.