Le Galaxy A55 représente le “haut de gamme du milieu de gamme” des smartphones de Samsung. Il se démarque principalement de son petit frère, le Galaxy A35, par son processeur Samsung Exynos 1480. Un écran OLED 120 Hz de 6,6 pouces, 3 capteurs photo et une batterie de 5000 mAh sont également au programme.
- Design séduisant
- Bonnes performances
- Qualité d'affichage
- Excellente autonomie
- Etanchéité à l'eau et à la poussière
- Bonnes aptitudes photographiques
- Taux de rafraichissement maximal de 120 Hz
- Qualité satisfaisante des haut-parleurs
- Lecteur microSD
- Qualité des photos de nuit en ultra grand angle
- Recharge pas très rapide
Comme chaque année à la même période, les Galaxy A arrivent dans les boutiques. En 2023, le modèle le plus sophistiqué, le Galaxy A54 avait un positionnement marketing pour le moins bizarre, puisqu’il était doté de composants plus performants que ceux de sont petit frère, le Galaxy A34, alors que ce dernier disposait d’un plus grand écran, de 6,6 pouces contre 6,4 pouces pour le Galaxy A54.
Cette année, Samsung change la donne, en dotant ses deux nouveaux smartphone de milieu de gamme du même écran, de 6,6 pouces. Le Galaxy A55 n’a donc plus de complexe à avoir vis à vis du Galaxy A35. De plus, avec son design “à la Galaxy S”, le smartphone a comme un air de modèle haut de gamme, qui n’est pas pour déplaire.
Voyons comment le Galaxy A55 se démarque de son prédécesseur et si la recette de Samsung, qui nous avait séduite l’année dernière, est toujours aussi convaincante.
Quelles sont les caractéristiques techniques du Galaxy A55 ?
La principale différence entre le Galaxy A54 et le Galaxy A55 réside dans l’intégration de la nouvelle version du processeur Samsung de milieu de gamme. Ainsi, l’Exynos 1380 est ici remplacé par l’Exynos 1480. Pour le reste, à part quelques modifications cosmétiques, les deux smartphones sont quasiment identiques.
- Processeur : Samsung Exynos 1480
- Mémoire : 8 Go
- Stockage : 128 Go, 256 Go
- Écran : OLED 6,6 pouces, 2340 x 1080 pixels, 120 Hz, 1000 nits max
- Objectif grand-angle : capteur 50 mégapixels, stabilisation optique
- Objectif ultra grand-angle : capteur 8 mégapixels
- Objectif macro : capteur 5 mégapixels
- Caméra frontale : 13 mégapixels
- Vidéo : 4K @ 30 images par seconde
- Batterie : 5000 mAh, recharge filaire 25 W
- Connectivité : Wi-Fi 6, Bluetooth 5.3
- Dimensions : 16,1 x 7,7 x 0,8 cm
- Poids : 213 grammes
- OS : Android 14 + OneUI 6.1, 4 ans de maj Android, 5 ans maj sécurité
- Résistance : IP67, protection Gorilla Glass Victus+
- Divers : Lecteur d’empreintes digitales sous l’écran, reconnaissance faciale, haut-parleurs stéréo
Quel est le prix du Galaxy A55 ?
Le Galaxy A55 est disponible en deux versions :
- Pour 499 € (ou 479 € avec une baisse de prix provisoire de 20 €), le smartphone intègre 8 Go de mémoire et 128 Go d’espace de stockage.
- Le modèle proposé à 529 € dispose quant à lui de 8 Go de mémoire et 256 Go d’espace de stockage.
En tenant compte de la (petite) baisse de prix de 20 € actuellement pratiquée, le Galaxy A55 est donc légèrement moins cher que le Galaxy A54 au moment de son lancement, en 2023 (499 € et 549 €).
Ces prix sont également à comparer à ceux du Galaxy A35, dont nous avons publié le test il y a quelques jours, et qui est proposé à 399 € (6 Go de mémoire et 128 Go de stockage) et 449 € (6 Go de mémoire et 256 Go d’espace de stockage).
Signalons d’autre part que deux autres modèles complètent les Galaxy A55 et Galaxy A35. Proposés respectivement à 229 € et 299 €, il s’agit des Galaxy A15 et Galaxy A25.
On ne change pas un design qui plait !
C’est ce qu’a du se dire Samsung, puisque le Galaxy A55 est en tous points identique aux Galaxy A35, Galaxy A34, Galaxy A54. Rappelons que depuis ces deux derniers, lancés en 2023, Samsung a donné à ses smartphones de milieu de gamme un look très proche de celui de ses modèles haut de gamme (les Galaxy S24 et Galaxy S24+). La seule différence avec ses derniers réside dans le fait que le dos en verre du Galaxy A55 est brillant (revêtement Gorilla Glass), alors que ceux des Galaxy S24 et S24+ ont un aspect mat.
Le résultat s’avère assez séduisant, même si les traces de doigts ont tendance à s’accumuler rapidement, ce qui rend le smartphone nettement moins sexy. Elles s’effacent toutefois facilement.
Le Galaxy A55 reprend donc à son compte le bord plat et les coins très arrondis de son prédécesseur. Si son design est ainsi très proche de celui des Galaxy S24 et S24+, il n’y a aucune chance toutefois de le confondre avec le Galaxy S24 Ultra, dont les bords sont beaucoup plus anguleux (lire notre test du Samsung Galaxy S24 Ultra).
Le smartphone offre une nouveauté esthétique : le cerclage qui fait la jonction entre les deux côtés du smartphone est désormais réalisé en aluminium. Il est donc plus résistant que celui en plastique des autres Galaxy A.
Autre moyen de différencier le Galaxy A55 de ses grands frères : le coloris. En effet, si les nouveaux smartphones de milieu de gamme de Samsung sont disponibles en bleu, bleu nuit, lilas et citron, rappelons que les Galaxy S sont proposés avec des teintes différentes : crème, argent, noir et indigo (plus bleu clair, vert et orange sur le site Samsung).
Pour le reste, précisons que le Galaxy A55 pèse 213 grammes et résiste – comme les Galaxy A de l’année dernière – à l’eau et à la poussière, puisqu’il est certifié IP67. Il peut donc être totalement immergé (pas longtemps, à faible profondeur et dans de l’eau douce !), ce qui est un bon point pour les maladroits qui utilisent régulièrement leur smartphone dans la salle de bain ou au bord de la piscine.
D’autre part, on retrouve sur le Galaxy A55 les deux emplacements SIM, dont un pouvant accueillir une carte mémoire microSD, toujours pratique pour étendre l’espace de stockage à volonté (pour y mettre ses photos ou ses fichiers audio). En revanche, bien sur, la prise casque est toujours absente. Il faut donc utiliser un casque ou des écouteurs Bluetooth pour écouter de la musique ou regarder des vidéos. On peut aussi bénéficier de la qualité et de la puissance des haut-parleurs stéréo. Celle-ci s’avère en effet assez convaincante, même si les basses sont comme toujours un peu trop en retrait.
Enfin, pour ce qui est de la sécurité, le lecteur d’empreintes digitales placé sous la dalle OLED réagit au quart de tour. L’accès aux données et aux applications du Galaxy A55 peut également être déverrouillé par la reconnaissance du visage.
Un écran OLED fluide et bien calibré
Comme nous l’avons indiqué au début de ce test, le Galaxy A55 dispose désormais du même écran OLED de 6,6 pouces que son “petit frère”, le Galaxy A35. Et, comme sur ce dernier, la dalle est protégée par le revêtement Corning Gorilla Glass Victus+. L’affichage s’effectue dans une définition de 2340 x 1080 pixels.
Bon point, la fréquence maximale d’affichage est de 120 Hz. En pratique, il est possible de sélectionner de mode d’affichage en 60 Hz ou de faire appel à une fréquence adaptative. Dans ce cas, le système d’exploitation déterminera quelle est la fréquence d’affichage la mieux adaptée – 60 ou 120 Hz – selon l’application utilisée.
Bref, puisque l’écran du Galaxy A55 affiche exactement les mêmes caractéristiques techniques que celles de l’écran du Galaxy A35. Il est donc normal que l’écran du premier offre des performances du même ordre que celui du second. Et c’est bien le cas, comme le montrent les mesures réalisées à l’aide de notre sonde X-Rite i1Display Pro Plus, tout d’abord avec le profil d’affichage appelé Couleurs naturelles :
- La luminosité maximale atteint 472 nits. C’est un résultat satisfaisant pour un smartphone de cette catégorie de prix. Bien sur, il demeure toutefois nettement en dessous du niveau de luminosité que peuvent offrir les smartphones haut de gamme (818 nits par exemple sur le Galaxy S24 Ultra).
- La température moyenne des couleurs est mesurée à 6560 K. Cela indique que la colorimétrie est parfaitement neutre.
- Enfin, la fidélité des couleurs s’avère excellente, puisque le Delta E moyen mesuré est inférieur à 3 (1,9 en l’occurrence).
Si on utilise le profil appelé Couleurs vives, la luminosité grimpe très légèrement (486 nits), alors que la température moyenne des couleurs passe à 7088 K (la colorimétrie est donc un peu plus froides). Le Delta E moyen demeure très bas (2.1), ce qui est le gage de couleurs très proches des teintes optimales théoriques (la différence est invisible à l’œil nu). Notons que ce mode d’affichage est le seul des deux qui permette de modifier manuellement la balance des blancs très précisément.
Indiquons également que si on active la fonction Vision Booster (luminosité adaptative en français), la luminosité de la dalle OLED peut grimper jusqu’à 1000 nits lorsqu’on se trouve dans un milieu très éclairé. Par exemple, en extérieur, sous un grand soleil, la lisibilité de l’écran s’en trouve ainsi nettement améliorée.
-
€
Samsung Galaxy A55299€
-
Fnac299€
-
RueDuCommerce313.98€
-
Darty324.78€
-
Cdiscount327.94€
-
Amazon351.50€
-
orange.fr359€
-
sosh.fr359€
-
Pixmania FR368.43€
-
E.Leclerc419€
-
Samsung449€
-
Boulanger449.99€
-
RED by SFR499€
-
SFR499€
Un processeur de milieu de gamme efficace
Le Galaxy A55 embarque le processeur Samsung Exynos 1480, alors que les Galaxy A54 de 2023 et A35 de cette année sont équipés du modèle précédent, l’Exynos 1380. Rappelons que notre test du Galaxy A54 avait mis en évidence le fait que l’Exynos 1380 était plus véloce que la puce Dimensity 1080 de Mediatek. Et donc, le nouvel Exynos est plus véloce que l’ancien !
Les différences entre les deux processeurs Samsung de milieu de gamme sont synthétisées dans le tableau ci-dessous :
Exynos 1380 | Exynos 1480 | |
Nombre de coeurs | 8 | 8 |
Coeurs Cortex A78 | 4 @ 2,4 GHz | 4 @ 2,75 GHz |
Coeurs Cortex A55 | 4 @ 2.0 GHz | 4 @ 2.0 GHz |
GPU | Mali -G68 MP5 @ 950 MHz | Samsung Xclipse 530 @ 1300 MHz |
Donc, en théorie, le processeur Exynos 1480 devrait être plus performant aussi bien en termes de calculs bruts que pour les opérations graphiques en 3D. Et cela se vérifie effectivement si on regarde les résultats obtenus par les deux puces avec les différents benchmark :
Exynos 1380 | Exynos 1480 | |
Geekbench single-core | 1021 | 1147 (+12,3 %) |
Geekbench multi-core | 2877 | 3427 (+19 %) |
PC Mark | 11836 | 13611 (+15 %) |
3D Mark Wild Life | 2804 | 3895 (+39 %) |
3D Mark Wild Life Extreme | 810 | 912 (+12,5 %) |
Bien sur, l’Exynos 1480 n’offre pas le même niveau de performances que celui des puces que l’on rencontre dans les smartphones haut de gamme de Samsung (les Galaxy S), les Samsung Exynos 2400 et Qualcomm Snapdragon 8 Gen 3. Même la puce Tensor G3 que l’on trouve dans les derniers smartphones de Google s’avèrent nettement plus performante.
En pratique, lorsqu’il s’agit de jouer, le GPU s’avère efficace. Par exemple, avec le jeu Fortnite, on peut profiter d’animations fluides (environ 30 images par seconde en moyenne), avec un niveau graphique Moyen.
Une bonne polyvalence en photo
Le Galaxy A55 est doté de 3 capteurs. Ces derniers sont identiques à ceux présents sur le Galaxy A54 :
- 50 mégapixels pour l’objectif grand angle, qui est équipé d’un dispositif de stabilisation optique.
- 12 mégapixels pour l’objectif ultra grand angle
- 5 mégapixels pour l’objectif qui permet de réaliser des clichés en mode macro.
Le capteur grand angle capture par défaut les photos en 12,5 mégapixels. En effet, il exploite la technologie Quad pixel binning pour optimiser leur qualité lorsque les conditions d’éclairage sont défavorables (la nuit par exemple). La qualité des clichés s’avère très satisfaisante en règle générale, en plein jour. En effet, la précision est au rendez-vous et les couleurs sont particulièrement éclatantes.
L’objectif ultra grand angle bénéficie d’un capteur plus précis que celui du Galaxy A35 (12 mégapixels au lieu de 8 mégapixels). Les photos qu’il réalise sont donc – en théorie – presque aussi bien définies que celles issues du capteur grand angle. Toutefois, en pratique, le tableau n’est pas aussi rose que prévu. En effet, si on regarde les clichés en ultra grand angle de près (format 100 % sur un moniteur 4K par exemple), on constate un cruel manque de précision. Ce dernier est toutefois moins flagrant si on visionne les photos à l’écran d’un smartphone ou sur une tablette.
Le Galaxy A55 ne disposant pas d’un téléobjectif, il faut donc avoir recours à un zoom numérique (jusqu’à 10x), pour mieux voir le sujet photographié, si ce dernier est quelque peu éloigné. Et, comme souvent, on s’aperçoit que les photos prises avec le zoom numérique 2x bénéficient d’une qualité des plus appréciables. Certes, le piqué des images n’est pas extraordinaire, mais celles-ci procurent satisfaction la plupart du temps.
Si on utilise le zoom numérique 4x, les choses commencent à se dégrader quelque peu. La précision de l’image est réduite et les contours des objets sont très adoucis. Encore une fois, comme pour les photos prises avec l’objectif ultra grand angle, il est préférable de ne pas les regarder de trop près sur un grand écran. Mais, sur l’écran d’un smartphone, elles font encore illusion. Et les choses se dégradent encore plus, bien sur, si on pousse le zoom à fond, en mode 10x.
Le troisième objectif, associé à un capteur de 5 mégapixels permet de réaliser des photos en mode macro. Si sa présence peut sembler anecdotique pour de nombreux utilisateurs, ceux qui aiment faire des gros plans de fleurs ou d’insectes en tous genres pourront réaliser des photos d’assez bonne qualité.
Les capteurs dorsaux sont complétés par un objectif frontal de 26 mm associé à capteur de 32 mégapixels pour capturer des selfies précis. Bon point, le mode Portrait s’avère efficace, aussi bien avec le capteur dorsal principal que le capteur frontal, avec un effet de flou (Bokeh) ajustable.
Comme très souvent sur les smartphones de milieu de gamme, le Galaxy A55 ne peut capturer que des séquences vidéo en 4K avec seulement 30 images par seconde. Pour obtenir une meilleure fluidité (60 images par seconde), il faut enregistrer les images en Full HD.
De nuit, les photos sont satisfaisantes lorsqu’elles sont capturées par l’objectif grand angle et son capteur de 50 mégapixels. Comme on peut le voir sur les exemples ci-dessous, la précision est bonne lorsque les sources lumineuses ne sont pas trop éloignées.
Et, une fois n’est pas coutume, on constate également que les clichés s’avèrent très bons même si l’éclairage environnant est très limité (voir photo ci-dessous).
En revanche, mieux vaut éviter d’avoir recours à l’objectif ultra grand angle de nuit. En effet, la plupart des clichés ce sont avérés flous lors de nos tests. Dans le meilleur des cas (photo de gauche ci-dessous), le résultat est correct sans plus.
Enfin, pour ce qui est de l’utilisation du zoom numérique de nuit, le Galaxy A55 s’en sort pas mal du tout. Avec le zoom numérique 2x, les clichés s’avèrent assez précis et même le zoom numérique 4x permet souvent d’obtenir des clichés exploitables (si des sources lumineuses se trouvent à proximité).
Une autonomie qui fait mouche
Le Galaxy A55 embarque une batterie de 5000 mAh. Nous avons mesuré l’autonomie du smartphone avec une luminosité d’affichage de 200 nits et – tout d’abord – une fréquence d’affichage fixée à 60 Hz. Dans ces conditions, le smartphone a fait tourner sans interruption le test Modern Office de l’application PC Mark pendant 14 heures et 34 minutes (rappelons que le niveau de la batterie est à 20 % à la fin du test). C’est un très bon résultat, très légèrement supérieur à celui que nous avions obtenu sur le Galaxy A54 (14 heures et 15 minutes).
Si on bascule dans le mode qui modifie en temps réel la fréquence d’affichage (mode Adaptatif), l’autonomie baisse d’environ une heure et demie, puisque le smartphone a fait tourner le test pendant 13 heures et 19 minutes, ce qui reste une performance très satisfaisante.
Nous avons également mesuré l’autonomie du Galaxy A55 pour le streaming vidéo. Nous avons bien sur utilisé le mode 60 Hz, car il est bien sur inutile d’exploiter un taux de rafraichissement supérieur pour ce type d’utilisation. Le niveau de la batterie a baissé de 18 % après la lecture d’un film en boucle pendant 4 heures, puis de 27 % après 6 heures de lecture. On peut donc estimer une autonomie totale, avec une batterie chargée à 100 % d’environ 22 heures et 13 minutes. Cela constitue un excellent résultat, bien meilleur que celui que nous avions obtenu avec le Galaxy A54 (18 heures et 10 minutes).
Enfin, comme toujours, Samsung n’autorise pas une recharge filaire très rapide. En l’occurrence, elle peut s’effectuer avec une puissance maximum de 25 W. Et comme le constructeur ne fournit plus depuis longtemps l’adaptateur secteur, nous avons donc utilisé le chargeur USB C 45 W vendu sur son site.
Celui-ci a permis à la batterie de retrouver 56 % de sa charge initiale en 30 minutes, ce qui s’avère assez satisfaisant. Ensuite, le niveau est remonté à 92 % en une heure. Et il aura fallu attendre encore un peu plus d’un quart d’heure de plus pour atteindre la recharge totale.
On est donc très loin de la véritable recharge rapide – en 90 W par exemple – autorisée par certains smartphones haut de gamme, comme le Xiaomi 14 Ultra que nous avons récemment testé (la recharge complète de sa batterie de 5000 mAh ne prend que 35 minutes !). On peut également citer Nothing, dont le Nothing Phone 2a – nettement plus abordable puisqu’il est vendu 349 € – supporte une charge en 45 W qui lui permet de regonfler sa batterie à 100 % en une heure (lire notre test du Nothing Phone 2a).
Enfin, la recharge sans fil n’est pas supportée. Cette fonction est réservée aux Galaxy S.
Notre verdict
- Design séduisant
- Bonnes performances
- Qualité d'affichage
- Excellente autonomie
- Etanchéité à l'eau et à la poussière
- Bonnes aptitudes photographiques
- Taux de rafraichissement maximal de 120 Hz
- Qualité satisfaisante des haut-parleurs
- Lecteur microSD
- Qualité des photos de nuit en ultra grand angle
- Recharge pas très rapide
Le Galaxy A55 de Samsung procure satisfaction dans quasiment tous les domaines. Les performances de sa puce Exynos sont suffisantes pour un très grand nombre d’utilisateurs; ses capteurs photos s’avèrent performants en plein jour, et même de nuit dans certains cas; et sa batterie peut facilement assurer deux jours de fonctionnement (en usage peu intensif). Si on ajoute à cela un design sophistiqué, une étanchéité totale et des finitions impeccables, on obtient un smartphone complet et des plus convaincants (qui -certes – pourrait se recharger plus rapidement !).