Dominique Adams, une Américaine en vacances, a eu une mauvaise surprise en commandant un VTC jusqu’à l’aéroport. Uber l’a débitée de 30 000 dollars par erreur, un choc pour la femme qui partage son histoire sur TikTok.
L’avènement du numérique a fait naître des géants comme Uber qui va diffuser de longues publicités pendant les temps d’attente. Ce service de VTC permet d’effectuer des trajets et généralement, les courses ne dépassent pas plusieurs dizaines d’euros voire moins. Sauf pour cette Américaine en voyage au Costa Rica qui a payé son trajet jusqu’à l’aéroport pas moins de… 30 000 dollars.
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Débitée par erreur de 30 000 dollars par Uber
Comme nous le rapporte Newsweek, tout commence par Dominique Adams, une américaine en vacances au Costa Rica. La vacancière a voulu rejoindre son mari au Guatemala pour fêter leur anniversaire de mariage. Comme beaucoup, la femme a donc commandé un Uber pour rejoindre l’aéroport sauf qu’au lieu de payer 54 dollars, elle est débitée de… 30 000 dollars. Dominique Adams relaie sa mésaventure sur TikTok, la vidéo devient virale.
Si Dominique Adams a été débité d’une telle somme, c’est que 54 dollars valent environ 29 000 Colón costaricien. La conversion n’a pas été prise en compte par Uber qui l’a débitée en dollars.
La malheureuse, interrogée par Newsweek, déclare : « J’ai été totalement choquée, mon cœur s’est serré ». Malgré l’énorme bourde, contacter Uber a été très compliqué : « Ils m’ont dit de ne pas m’en faire sans m’aider plus que ça. Je n’ai pas trouvé de numéro pour le service client, mes messages ont été ignorés ».
La banque l’informe même que la correction de l’erreur peut prendre jusqu’à une semaine. Pour Dominique Adams, il s’agit d’un « échec des mesures de sécurité ».
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Est-ce que l’Américaine a été remboursée par Uber ?
Rassurez-vous, tout se termine bien pour Dominique Adams. Après 4 jours, elle récupère son argent suite au tollé provoqué sur les réseaux sociaux par sa publication et celle de son mari. Mais selon elle, sans tout ce bruit, Uber n’aurait sans doute pas bougé le petit doigt. Ou du moins pas aussi rapidement. Preuve que TikTok, qui serait interdit en France dès le 1er janvier 2024 pour des raisons de sécurité nationale, peut accélérer les choses.
