Capcom a récemment supprimé la fonctionnalité de ray tracing des versions Steam des remakes de Resident Evil 2 et 3, sans explications. Les joueurs ont remarqué que l’option avait disparu des paramètres graphiques, même pour ceux qui avaient la version DirectX 12 du jeu.
Capcom est impliquée dans une controverse impliquant les remakes de Resident Evil 2 et 3 sur Steam : les joueurs ont signalé que le ray tracing avait été discrètement supprimé de ces jeux, sans explication claire de la part de la société.
Les joueurs ont remarqué ce changement soudain lorsqu’ils ont tenté de modifier leurs paramètres graphiques et ont découvert que l’option avait disparue. Même les joueurs qui avaient la version DirectX 12 du jeu ont signalé qu’elle était manquante.
Pourquoi Capcom a-t-il enlevé le ray tracing des remakes de Resident Evil 2 et 3 ?
La communauté est divisée quant à savoir si cela a été fait délibérément ou non — certains pensent que c’était une erreur accidentelle. Jusqu’à présent, il n’y a pas eu de déclaration officielle de la part de Capcom, laissant un peu tout le monde dans l’incertitude. Bizarrement, l’option Dolby Atmos pour les écouteurs et casques a également été enlevée.
L’AMD FSR est toujours là, et exécuter le jeu dans son ancienne configuration en DirectX 11 (qui n’a pas ces options) est un choix opt-in via une branche bêta Steam. Le changement semble correspondre à une mise à jour du 14 avril, documentée par SteamDB.
Rappelons que Capcom a également suscité la controverse en ajoutant des microtransactions à Resident Evil 4 Remake seulement deux semaines après sa sortie. Dans un autre incident récent, l’actrice de Resident Evil 4 Remake, Lily Gao, a été victime de harcèlement en ligne après la sortie du jeu. Les joueurs ont critiqué sa performance en tant qu’Ada Wong et ont inondé ses réseaux sociaux de commentaires négatifs.
Gao a finalement dû fermer les commentaires sur son compte Instagram pour se protéger du harcèlement. Elle a également caché tous ses messages, sauf un seul, aux yeux du public. Cette situation est malheureusement courante dans l’industrie du jeu vidéo, où les acteurs et les développeurs sont souvent pris pour cibles par des joueurs en colère.
