Les aliens les plus marquants du cinéma

Image 1 : Les aliens les plus marquants du cinéma

Riddick (2013)

Le 18 septembre sortira dans les salles françaises le très attendu Riddick, troisième volet de la saga des Chroniques de Riddick interprété à l’écran par Vin Diesel. Cette suite relate les mésaventures du criminel le plus recherché de l’univers. Après Pitch Black en 2000 et Les chroniques de Riddick en 2004, Riddick doit à présent lutter seul pour sa survie contre des aliens en tous genres et si redoutables qu’il se voit contraint d’alerter les mercenaires et les chasseurs de primes qui sont à ses trousses pour tenter de se sortir d’affaire…

Riddick vient de connaitre un début en fanfare pour son premier week-end  d’exploitation aux États-Unis avec près de 19 millions de dollars de recette, loin devant Le Majordome, l’autre « grosse » sortie de la semaine, qui n’a récolté « que » 9 millions de dollars environ.

Un démarrage canon qui doit faire vraiment plaisir à Vin Diesel, également producteur du film, car il a dû, de son propre aveu, hypothéquer sa maison pour boucler le budget du film.   

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Prometheus (2012)

Prometheus de Ridley Scott, sorti en 2012, devait à l’origine être l’authentique préquel d’Alien (1979), du même réalisateur. Ce ne sera finalement pas tout à fait le cas. Le film, qui se situe néanmoins dans le même univers,  aura déçu bon nombre de fans de la première heure. Cette quête à la recherche des origines de l’humanité au fin fond de l’horreur galactique amènera l’équipage à découvrir un type d’extraterrestres très singuliers, les ingénieurs, des colosses de 3 mètres au visage de marbre et à l’intelligence supérieure (et même plus…).          

Image 3 : Les aliens les plus marquants du cinéma

Paul (2011)

On quitte les univers intersidéraux et les ambiances oppressantes et on se détend un peu avec Paul, une comédie de science-fiction-road-movie sortie en 2011 réalisée par Greg Mottola à partir d’un scénario de Simon Pegg et Nick Frost (Hot Fuzz, Shaun of the dead). Cette parodie de film de SF, mettant en scène deux purs geeks se rendant au Comic-Con, est truffée de clins d’œil et de références au cinéma et à la culture geek. Elle revisite radicalement le genre avec une créature de Roswell à qui on aurait fait avaler un dictionnaire de gros mots  et qui a décidément pris de mauvaises habitudes (humaines) après avoir passé 60 ans sur terre. 

Image 4 : Les aliens les plus marquants du cinéma

District 9 (2009)

Dans District 9 du réalisateur Neil Blomkamp, les créatures extra-terrestres sont très laides (comme c’est très souvent le cas), ressemblent à des crustacés (cela arrive moins fréquemment) et sont presque attachantes (ce n’était plus arrivé depuis E.T.). Considéré comme un des meilleurs films, sinon le meilleur, film fantastique de l’année 2009, District 9 a révélé l’immense talent et l’énorme potentiel d’un réalisateur qui réussissait à mêler dans un même film de SF un réalisme vraiment troublant, une bonne dose d’humour et un « message » politique. Un véritable tour de force.              

Image 5 : Les aliens les plus marquants du cinéma

Avatar (2009)

Tout a été dit ou presque sur Avatar, de James Cameron, et ses presque 2,8 milliards de dollars de recette qui le placent encore à ce jour en tête du classement de tous les temps du Box-Office mondial. Ce que certains d’entre nous savent peut-être moins c’est que les Na’vis, ces créatures extra-terrestres à la peau bleue mesurant plus de 3 mètres et que l’on peut considérer comme les véritables vedettes du film, lui auraient été inspirées des années plus tôt par un rêve de sa mère où elle aurait vu « une femme bleue mesurant 12 pieds ».   

Image 6 : Les aliens les plus marquants du cinéma

La guerre des mondes (2005)

Dans La guerre des mondes, deuxième adaptation cinématographique majeure du roman de science-fiction de H.G Wells publié en 1898 (après celle réalisée en 1953 par Byron Haskin), Steven Spielberg confie l’avenir de l’humanité à Tom Cruise, dans le rôle de l’américain moyen, Ray Ferrier, aux prises avec des tripodes extra-terrestres géants venus de Mars.

Image 7 : Les aliens les plus marquants du cinéma

Men in Black (1997)

Dans le premier Men In Black, sorti en salles en 1997, l’alien de tous les aliens (dans un film qui n’en manque pas …) se nomme Edgard le cafard et donne beaucoup de fil à retordre aux hommes en noir. Très intelligent, fort et habille, il a la capacité de se camoufler sous les traits d’un humain qui ne trompe en fait que peu de monde puisqu’il semble alors tout droit sorti d’un film de zombie      

Image 8 : Les aliens les plus marquants du cinéma

Starship Troopers (1997)

Ce n’est pas un seul type d’extra-terrestres, ni même deux ou trois, que l’on retrouve en 1997 dans Starship Troopers mais une société tout entière : les Arachnides. Ennemis jurés de la Fédération terrienne, ces insectes géants, pour la plupart très agressifs, sont répartis en trois classes principales (reines, soldats et ouvriers) et  se déclinent en une quinzaine de variétés : Cerveaux, Araignées de jungle, Homoptères, citernes, guerriers, plasmas, imposteurs ….      

Image 9 : Les aliens les plus marquants du cinéma

Le Cinquième Élément (1997)

Dans Le Cinquième Élément de Luc Besson les méchants aliens de service ont pour nom Mangalores et ressemblent à des tas de pierres à qui on aurait greffé un bec de tortue, un double menton et des oreilles de… on ne sait pas très bien. Ces brutes épaisses un peu stupides à la solde de Jean-Baptiste Emanuel Zorg ont néanmoins la capacité de se métamorphoser à l’occasion.       

Image 10 : Les aliens les plus marquants du cinéma

Mars Attacks! (1996)

Lorsque Tim Burton se lance dans la science-fiction cela donne le désopilant Mars Attacks ! Dans ce film au casting de rêve (Jack Nicholson, Glenn Close, Pierce Brosnan, Michael J.Fox, Pam Grier…) qui s’inspire beaucoup de La guerre des Mondes et plus généralement des films américains de « série Z » des années 50. Mais avec l’humour et la maitrise d’un réalisateur brillantissime qui n’hésite pas à transformer ces martiens en affreux sales gosses, méchants, ridicules et terriblement cruels.        

Image 11 : Les aliens les plus marquants du cinéma

Total recall (1990)

Dans le Total Recall de Paul Verhoeven, d’après la nouvelle « “We Can Remember It for You Wholesale” de Philip K. Dick, la planète Mars a été colonisée par les terriens qui y exploitent le précieux turbinium enfoui dans son sous-sol. Et que trouve-t-on sur Mars ? Du martien bien entendu. Mais par n’importe lesquels puisqu’en faisant la tournée des bars, on peut même tomber nez à nez avec des prostituées-martiennes-mutantes- à-trois-seins.  Tout un programme.           

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Bad Taste de Peter Jackson (1987)

Dans la famille des réalisateurs surdoués qui n’hésitent pas à mélanger les genres (car justement, ils sont surdoués) et à qui cela réussit plutôt très bien je voudrais… Peter Jackson ! Celui qui réalisa moins d’une quinzaine d’années plus tard le premier volet de la trilogie du Seigneur des anneaux (La Communauté de l’anneau) « commis » en 1987 son premier film qu’il baptisait à très juste titre Bad Taste. Les aliens y sont ici mangeurs d’hommes et débarquent dans un petit village pour y faire leurs emplettes de chair fraiche afin de reconstituer les stocks de leur chaine de fastfood.  Un film à mini budget (11 000 $) qui permit au monde du cinéma de découvrir cet autre jeune prodige bourré de talent. Et d’humour.    

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Predator (1987)

Dans ce film mêlant habilement science-fiction et action, l’alien humanoïde Yautja (Predator) est apparu en 1987 comme un des plus terrifiants qui nous était donné de voir depuis Alien (ils se retrouveront d’ailleurs un peu plus tard). Poids : 190 kg. Taille : 2,20 mètres. Intelligence : supérieure. Signe distinctif : porte des dreadlocks. Principal caractéristique : Il est là… il est plus là… il est là… il est plus là… Très agaçant pour ses proies (des membres des forces spéciales en l’occurrence) qui trouveront néanmoins la faille en découvrant dans la jungle des traces de son sang phosphorescent car, comme le déclarait Alan « Dutch » Schaefer  (interprété par Arnold Schwarzenegger) dans une réplique pleine de bon sens « S’il saigne, on peut le tuer ».  

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Alf (1986)

Quatre saisons et 105 épisodes ont permis à Gordon Shumway alias Alf (Alien Life Form) de devenir un des extra-terrestres les plus populaires du paysage audiovisuel américain et mondial. Échoué sur terre un peu par hasard après l’explosion de Melmac, sa planète natale, et adopté par une famille d’Américains moyens résidant à Los Angeles il passera son temps à essayer de comprendre ce nouveau monde qui l’entoure. Un alien fort sympathique donc, sauf avec les chats…           

Image 15 : Les aliens les plus marquants du cinéma

E.T. (1982)

On ne présente plus E.T. l’extra-terrestre, cette très pacifique et attachante créature venue de l’espace, échouée en pleine nuit du côté de Los Angeles et qui parvient à trouver une famille d’accueil. Mais contrairement à la plupart des aliens qui  souhaitent en général envahir  ou détruire la terre, lui, n’a qu’une seule idée en tête : rentrer à la maison.     

Image 16 : Les aliens les plus marquants du cinéma

La soupe aux choux (1981)

La Soupe aux choux, en 1981, nous dépeint un univers rural tout en finesse et des personnages pétris de poésie où le passe-temps favori des principaux protagonistes (le Glaude et le Bombé  interprétés par Louis de Funès et Jean Carmet) consiste à faire des concours de pets le soir à la veillée. Jusque-là, rien de très galactique. Jusqu’au jour où une soucoupe volante, créée pour le film par Guy Delécluse (par ailleurs responsable de la conception de la planète Krypton dans Superman)  atterrit dans les parages avec à son bord THE extra-terrestre made in France : La denrée. Celui-ci se passionnera alors très vite pour la fameuse soupe aux choux locale et, au passage nous fera mourir de rire avec sa combinaison spatiale plus qu’improbable (made in l’ile aux enfants) d’où émergeait le visage bien terrien de l’immense Jacques Villeret.     

Image 17 : Les aliens les plus marquants du cinéma

L’Empire contre-attaque (1980)

C’est dans l’Empire contre-attaque qu’il apparait pour la première fois à l’écran et on le verra au total dans cinq des six épisodes que compte la saga Star Wars. Yoda est toute simplement LE maître Jedi parmi les Maitres Jedi, aussi sage et puissant qu’il est petit par la taille… (une soixantaine de centimètres). La légende veut que Georges Lucas lui ait attribué les yeux d’Albert Einstein pour, parait-il, « lui donner un air intelligent et sage ». Soit…

Image 18 : Les aliens les plus marquants du cinéma

Alien (1979)

Il y eut un avant et un après-Alien, film SF choc de l’année 1979, quant à l’esthétique des extra-terrestres portés à l’écran. On doit celui du film de Ridley Scott à Hans Ruedi Giger, un graphiste, plasticien, sculpteur et designer suisse qui est parvenu à concevoir une créature, et un univers, cauchemardesque qui semble omniprésente alors qu’on la voit relativement peu durant le film.        

Image 19 : Les aliens les plus marquants du cinéma

Rencontre du troisième type (1977)

Dans ce troisième long métrage réalisé par Steven Spielberg en 1977, la « rencontre du troisième type » fait référence à ces petites créatures venues d’ailleurs. Le titre de ce film de science-fiction culte, où les spectateurs ont eu l’immense privilège de voir François Truffaut en personne tenir un des deux principaux rôles (S. Spielberg était un fan absolu du réalisateur français), est issu de la classification de Hynek chère aux ufologues. Une Rencontre Rapprochée du 3e type (RR3), selon cette dernière, implique qu’un ou plusieurs témoins voient un OVNI et ses occupants, ou seulement ses occupants sans ce dernier.

Image 20 : Les aliens les plus marquants du cinéma

Star Trek (1967)

Les Klingons sont des extra-terrestres humanoïdes de la série Star Trek qui font leur première apparition dans l’épisode “Errand of Mercy” diffusé pour la première fois en 1967. Ils ne ressemblaient alors pas exagérément à des aliens. Ce n’est que plus tard que l’apparence de ces guerriers évolua radicalement avec une masse osseuse qui leur barre le front, véritable « empreinte génétique » propre à chaque individu. Et puis il y a ce que l’on ne voit pas du premier coup d’œil : une colonne vertébrale « en 3D »,  deux foies, deux cœurs, trois poumons, plusieurs estomacs…