En 2009 déjà, l’esthétique du film Avatar avait séduit le monde entier. Record de recettes, le premier volet du film science-fiction réalisé par James Cameron cochait toutes les cases. Les critiques d’Avatar 2 louent, une fois de plus, la beauté des images et des décors du film. On vous en dit plus sur la manière dont a été construit l’univers du deuxième volet d’Avatar.
13 ans après, Avatar 2 : La voie de l’eau semble avoir réussi son pari. En effet, les critiques unanimes du film qui vient de sortir soulignent, là encore, la beauté des décors et la conception d’un univers cinématographique extrêmement bien pensé et conçu. Dylan Cole et Ben Procter, en charge de la production de ces derniers, livrent aujourd’hui des informations supplémentaires sur la conception de cet univers hors du commun. Les deux producteurs mettent, par exemple, en évidence que dans de nombreux cas, c’est dans la nature que naissent la plupart de leurs idées. Pour le premier volet des aventures du peuple Na’vi, l’arbre sacré au milieu de la forêt rappelle par exemple certains types d’anémones ou de coraux sous-marins. D’autres éléments de la végétation (arbres se repliant sur eux même au toucher etc.), ont été également inspirés par la flore sous-marine.
Si dans le premier volet, les décors essentiellement terrestres ont été influencés par des éléments sous-marins du monde réel, l’équipe d’Avatar 2, a souligné le fait que pour le deuxième opus, les décors sous-marins sont, eux, calqués sur des éléments naturels terrestres.
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Les véhicules sous-marins d’Avatar 2 ont été construits à taille réelle
Si la plupart des décors ont été construits numériquement sur ordinateurs, d’autres éléments ont, quant à eux, été conçus à taille réelle et de manière complètement fonctionnelle. L’un des véhicules phares du film, surnommé « dragon des mers » provient en effet d’un bateau conçu spécialement pour le film. Pouvant naviguer à une vitesse maximale de 42 nœuds, soient l’équivalent d’une poussée créée par 1 000 chevaux, le bateau a permis le tournage de scènes incroyables sur l’eau et à travers les vagues. Une prouesse technique qui s’est révélée particulièrement coûteuse mais qui, d’après le résultat final du film, en valait le coût.
Source : variety.com