[Test] Sonos One : Alexa, mais t’es pas là, mais t’es où? (pas là, pas là)

Image 1 : [Test] Sonos One : Alexa, mais t’es pas là, mais t’es où? (pas là, pas là)
8/10

Sonos One

  • sonos one
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On aime
  • Qualité audio
  • Design
  • Facile à installer
On n’aime pas
  • L'absence d'Alexa
Verdict :

La nouvelle enceinte de Sonos est une belle réussite. Que ce soit d’un point de vue design ou sur la qualité audio, Sonos met la barre très haut avec sa One. Seule ombre au tableau, et elle est de taille, l’absence d’Alexa en France qui empêche de profiter de toutes les capacités de l’enceinte. Pour le reste, que ce soit en tant que système audio indépendant ou intégrée à un système multiroom existant, la Sonos One est une petite pépite.

Il y a quelques jours, Sonos annonçait la sortie de sa dernière enceinte : la Sonos One. Venant compléter la gamme multiroom du constructeur américain, elle incarne la nouvelle entrée de gamme du catalogue. Surprise, la petite enceinte embarque également l’assistant vocal d’Amazon, Alexa. Un incontournable aux Etats-Unis mais indisponible en France. Alors malgré cette absence notable, la Sonos One vaut-elle le détour ?

Image 2 : [Test] Sonos One : Alexa, mais t’es pas là, mais t’es où? (pas là, pas là)5 raisons de craquer (ou pas) pour la nouvelle enceinte de Sonos

Oui : Pour son design et son ergonomie soignés

Image 3 : [Test] Sonos One : Alexa, mais t’es pas là, mais t’es où? (pas là, pas là)Le design fait partie de l’ADN de Sonos. Depuis plusieurs années la marque américaine a pris l’habitude de présenter des produits aux lignes épurées et au dessin très soigné. La Sonos One ne déroge pas à la règle. Petit cube aux bords arrondis elle est disponible en deux coloris, noir et blanc. Lorsqu’on la prend en main, on ne peut qu’être surpris par son poids relativement important compte tenu de sa taille. Sa grille finement dessinée laisse place, à l’arrière à une entrée Ethernet ainsi qu’au bouton commun à tous les produits Sonos et qui permet leur configuration. Pour le reste les commandes tactiles sont très limitées (mise sous tension, volume, avance et retour rapide et un micro pour qui vous savez), tout passe par l’application. 

>>> Lire : comparatif : quel est le meilleur système d’audio multiroom ?

Oui : Parce que le son est vraiment bon

La première surprise c’est la puissance audio qui tranche avec la petite taille de l’enceinte. Malgré ses allures de système d’appoint, la Sonos One peut réussir à apporter une ambiance sonore appréciable dans une pièce de 30m2. Outre la puissance, il convient de souligner que le son est vraiment bon. Un peu trop porté sur les basses diront les puristes, mais dans la pure tradition de ce qu’a fait Sonos ces dernières années.

Concrètement si la Sonos One sonne particulièrement bien sur les morceaux hip hop ou électro elle n’en demeure pas moins qualitative sur du classique ou encore du rock. C’est sans doute la plus grande qualité de la petite dernière de Sonos : avoir trouvé le juste équilibre entre puissance et qualité audio.

Non : Parce qu’Alexa n’est pas là

A quoi peut bien servir une enceinte compatible avec Alexa… sans l’assistant vocal d’Amazon ? A écouter de la musique et… rien de plus. Tout du moins en attendant une arrivée éventuelle d’Alexa en hexagone. Fort heureusement, Sonos ne fait pas payer la non présence d’Alexa outre mesure. En effet, à 229€, la One vient se positionner à un tarif identique à son principal concurrent chez Bose : la SoundTouch 10.

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Oui Parce qu’elle rentre parfaitement dans l’écosystème Sonos

La Sonos One peut, bien évidemment, être utilisée comme une enceinte indépendante, mais sa grande force c’est de pouvoir intégrer un système Sonos existant.

Image 5 : [Test] Sonos One : Alexa, mais t’es pas là, mais t’es où? (pas là, pas là)Image 6 : [Test] Sonos One : Alexa, mais t’es pas là, mais t’es où? (pas là, pas là)

Dans ce cas, deux possibilités s’offrent à elle : étendre le système multiroom à une autre pièce, ou fonctionner de pair avec une autre One et former avec un caisson de basse Sonos (SUB) un véritable système Hi-Fi.

>>> Lire : Sonos Playbase, le test de la plaque de son 

Dans les deux cas, la configuration est on ne peut plus simple. Une fois sous tension, il suffit de lancer l’application Sonos pour que le nouveau système comprenne à quel réseau Wi-Fi il doit être associé. Ensuite, l’application permet de choisir dans quelles pièces et sur quelles enceintes le son est diffusé. Un jeu d’enfant.

Oui Parce que l’application s’améliore

Image 7 : [Test] Sonos One : Alexa, mais t’es pas là, mais t’es où? (pas là, pas là)Compagnon indispensable des enceintes Sonos, l’application n’a pas toujours été le meilleur atout du système multiroom américain. Force est de constater que depuis quelques mises à jour Sonos corrige le tir et améliore son appli. La dernière version que nous avons testée en bêta va dans ce sens. La navigation se fait essentiellement via quatre onglets. Si on prend la peine de déterminer ses favoris, elle en devient encore plus aisée. Mais on regrettera quand même certains choix d’ergonomie comme par exemple l’impossibilité de lancer une radio en moins de 3 clics. Pour le reste, il n’y a pas grand-chose à reprocher à l’appli si ce n’est qu’il faut systématiquement passer par elle et qu’il est impossible de lancer de la musique sans sortir son smartphone de sa poche.