Apple : une histoire de design

Image 1 : Apple : une histoire de design

1977 – Le logo Apple – « La plus célèbre des pommes »

Un des plus célèbres logotypes de l’histoire des marques (avec ceux de Coca-Cola, de Nike, etc.) à parfaitement remplit son rôle premier en permettant d’identifier  Apple de manière unique et immédiate. Il s’agit en fait du second logo d’Apple car le premier, dessiné en 1976 par Ronald Wayne, fut rapidement abandonné au profit de la célèbre pomme croquée et  multicolore dessinée par Rob Janoff.  La pomme est croquée pour ne pas la confondre avec une cerise, et était multicolore afin de donner une image conviviale et humaine à la firme tout en évoquant l’Apple II, premier micro-ordinateur domestique à pouvoir afficher des couleurs (6 précisément).      

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1977 – Apple II – « La Rolls des Micros »

Ce n’est pas le premier ordinateur personnel de l’histoire mais l’un des premiers à avoir suscité un formidable engouement du grand public. Considéré en 1977 comme la « Rolls des micro-ordinateurs », il fut imaginé sur les bases de l’Apple I un micro en semi-kit produit à 200 exemplaires auquel il fallait ajouter un boîtier, un clavier, une alimentation…  L’Apple II était, lui, prêt à l’emploi, contrairement à son prédécesseur, et fut produit en plus grande quantité. Il était doté d’un microprocesseur cadencé à  1 Mhz, de 4 Ko  de mémoire vive et d’un lecteur de cassettes.  

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1983 – Apple Lisa « Des souris s’invitent sur un bureau »

La révolution se poursuit en 1983 chez Apple avec Lisa, l’un des premiers ordinateurs personnels de l’histoire à être doté d’une interface graphique,  d’une souris et d’un système d’exploitation multitâche coopératif (Lisa OS). Lisa était plus particulièrement destiné aux développeurs de programmes pour Macintosh mais fût un échec commercial certain pour la société en raison de son prix : 9 995 $.

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1984 – Macintosh 128 K – « Le premier Macintosh »

Le Macintosh 128 K, premier d’une longue lignée, fut immédiatement un très beau succès avec environ 70 000 exemplaires vendus,  trois mois après le début de sa commercialisation. Il avait été très clairement conçu pour un plus large public que ses prédécesseurs et offrait des performances relativement correctes, une grande simplicité d’utilisation et un prix (un peu moins de 3 000 $) divisé par 3 par rapport à l’Apple Lisa. Son boîtier compact embarquait l’unité centrale et un écran de 9 pouces en noir et blanc. Son microprocesseur était un Motorola 68000, premier d’une grande lignée également, cadencé à 8 Mhz. 

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1987 – Macintosh SE « Changement de couleur »

Le Macintosh SE fut novateur à plus d’un titre en étant le premier de la série à intégrer un espace permettant d’accueillir un disque dur et en changeant de couleur. Le beige laissait ainsi place à la couleur « Platinium » en prouvant une fois de plus qu’Apple avait le souci permanent d’apporter, au-delà des innovations technologiques, un soin particulier à l’image de ses produits afin de se démarquer de la concurrence.

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1989 – Macintosh portable – « Le premier transportable »

Un poids de 7 kilos et un prix relativement élevé, compte tenu de ses performances comparées à un Macintosh de bureau. Cette première tentative d’Apple d’ouvrir la voie de « l’informatique nomade »  se solde par un échec commercial. Mais la dynamique est lancée.

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1991 – Powerbook 100 – « Vraiment portable »

La seconde tentative fut la bonne avec le Powerbook 100 qui reprenait une bonne partie des composants de son prédécesseur le Mac « transportable » mais dans une enveloppe qu’il était bien plus aisé d’emmener partout avec soi. Il ne pesait plus que 2,3 Kg (au lieu de 7) et était également bien moins cher. Son design était également très novateur puisqu’il fut un des premiers micros, sinon le premier, à arborer une couleur gris foncé et à utiliser l’espace disponible sur l’unité centrale devant le clavier comme repose poignets là où la plupart des portables concurrents disposaient de claviers sur le devant.

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1992 – Powerbook Duo – « Un ultra portable et un dock »

En 1992 Apple continue sur sa lancée et dévoile les PowerBook Duo 210 et 230, que l’on peut considérer aujourd’hui comme les tous premiers « ultra-portables » (1,9 Kg quand même …). Ce tour de force, à une époque où les ordinateurs portable pesaient au minium 3 Kg, fut possible en les allégeant de certains composants (lecteur de disquette, port ADB, port SCSI …) et en y ajoutant un connecteur 152 broches afin de les associer à une autre nouveauté : le dock. Une fois connecté,le Powerbook voyait ainsi ses performances sensiblement augmentées et compatibles avec un usage plus sédentaire (espace de stockage, mémoire vidéo et mémoire cache supplémentaire, coprocesseur arithmétique, lecteur de disquettes, etc.).  

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1993 – Apple Newton – « L’ancêtre de l’iPad ? »

Le Newton MessagePad 100 est très clairement un des premiers PDA (Personal Digital Assistant) de l’histoire et préfigurait sous certains aspects ce qui allait devenir l’iPad  une peu moins de 20 ans plus tard.  Il était doté d’un écran monochrome tactile pilotable à l’aide d’un stylet et d’une petite révolution à l’époque : un logiciel de reconnaissance d’écriture cursive. 

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1993 – Macintosh TV – « Ordinateur et télévision »

En 1993 Apple sort une sorte d’Ovni dans la mesure où ce micro intégrait un tuner TV et qu’il restera l’un des deux seuls modèles de Macintosh de couleur noire. Peu puissant et mono tâche (on ne pouvait pas utiliser l’ordinateur et la TV en même temps) il fut produit à 10 000 exemplaires uniquement et fut un relatif échec commercial.

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1994 – Powerbook 500 Series – « L’arrivée du trackpad »

La gamme Powerbook passe à la vitesse supérieure en 1994. Son look se fait plus épuré et le trackpad fait son apparition en lieu et place du trackball (une première sur un ordinateur portable). Il est doté d’un microprocesseur Motorola beaucoup plus puissant et d’une batterie procurant une autonomie digne de  ce nom. Mais cela n’est pas tout. Il intègre également un écran de meilleure définition, un second emplacement pour batterie, un clavier étendu, des haut-parleurs stéréo.

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1997 – Apple eMate 300 « Un Newton pour le monde de l’éducation »

Réservé au marché de l’éducation l’Apple Newton eMate 300 était en quelque sorte une évolution du PDA sorti 3 ans plus tôt.  Ce portable préfigurait, quant à son design, les futurs iBook « palourde »  apparus deux ans plus tard, en 1999, avec ses formes courbes,  sa coque translucide et sa poignée de transport.  

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1997 – Twentieth Anniversary Macintosh – « Champagne ! »

On n’a pas tous les jours 20 ans. Pour fêter dignement les deux décennies d’existence d’Apple, la société lance un ordinateur de bureau au design que l’on peut alors considérer comme futuriste, imaginé par le designer industriel britannique Jonathan Ive. Nom de code : Spartacus. Les composants internes étaient relativement classiques et ce n’était pas réellement sous le capot qu’il fallait chercher l’exception. Mais outre son aspect très haut de gamme, il disposait d’un écran plat LCD, d’un lecteur de CD-Rom à chargement frontal, il embarquait des tuners TV et radio et un système audio de marque Bose. Le grand luxe !  

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1998 – iMac G3 « Et la couleur fût »

Et vint l’iMac G3…  signe concret du retour aux affaires de Steve Jobs un an plus tôt après avoir été chassé de sa propre société en 1985. Apple frappe un grand coup avec cet ordinateur compact introduisant de la couleur (le bleu dans un premier temps), y compris pour la souris et le clavier coordonnés, dans un monde où le beige régnait en maître absolu.  Mais au-delà d’une  esthétique alors révolutionnaire, le faisant ressembler au premier abord à un simple écran cathodique muni d’une poignée,  l’iMac 3 fut le premier micro-ordinateur à ne proposer que des ports USB et le premier Macintosh à mettre aux oubliettes le bon vieux lecteur de disquettes 3,5 pouces.

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1998 – Hockey Puck – « Fun plus qu’ergonomique »

La souris livrée avec les tous nouveaux iMac G3, surnommée « Hockey Puck » (galet de hockey),  était parfaitement coordonnée tant au niveau de la couleur que sur le plan de son design, tout en rondeurs. Et c’est sur ce dernier point que de nombreux utilisateurs auraient probablement apprécié  un peu plus de classicisme. Elle était en effet  loin d’être un modèle d’ergonomie et restera dans le souvenir de bon nombre de ses utilisateurs comme un mini instrument de torture. Joli, mais inconfortable au possible.  

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1999 – iMac – « 5 parfums au choix »

Un an environ après le lancement réussi de l’iMac, Apple propose une avalanche de couleurs dignes du plus appétissant des rayons primeurs. Les iMac s’habillent de mandarine, citron vert, fraise, raisin et myrtille. Les consommateurs ont désormais le choix, une véritable révolution. Ces nouveaux choix cosmétique étant parallèlement accompagnés d’une montée en puissance au niveau des performances.     

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1999 – Power Macintosh G3 « Une note de couleur dans un monde de bureaux »

Le souci de design touche même les gammes à vocation professionnelle. Le modèle de bureau basé sur le PowerPC G3 proposés par Apple a lui aussi droit à un profond « relooking » avec le « B&W G3 » (Blue and White G3). Il reprend l’aspect coloré et translucide du premier iMac mais sera quelques mois plus tard remplacé par le Power Mac G4 un modèle argent et gris basé sur le PowerPC G4.

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1999 – Apple Cinéma Display 22 pouces – « L’écran dans l’écrin »

La fin de l’été 1999 est l’occasion pour la société de dévoiler  le premier écran LCD de sa gamme. L’Apple Cinema Display 22 pouces possède, comme il se doit, un design coordonné aux tous nouveaux Power Mac G4.

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1999 – iBook G3 Palourde – « Un iMac à emporter »

Dans le cadre de la simplification et du relookage de sa gamme de produits, Apple s’attaque aux portables et dévoile à l’occasion de Macworld Expo de 1999 le tout nouveau iBook G3 « Clamshell », dit « La palourde ».  Il reprenait  dans ses grandes lignes le design de feu l’eMate 300 de 1997 mais avec des couleurs similaires à celles de l’iMac G3.   

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1999 – Station AirPort – « Beau comme une borne »

Apple est le premier fabricant de micro-ordinateurs à implémenter dans l’un de ses produits la norme de communication sans fil Wi-Fi. Elle commence par le faire tout naturellement dans l’un de ses équipements portables, l’iBook G3, à l’aide d’une carte d’extension, associée à la toute nouvelle Station Airport que l’on doit relier au réseau téléphonique ou au réseau local.

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2000 – Power Mac “Cube” – « Discrétion assurée »

Le Power mac G4 Cube est une nouvelle tentative d’Apple de se démarquer du design micro-informatique de l’époque avec cette boîte de 20 centimètres de côté, dénuée de ventilateur interne. On se prend  alors à rêver que l’ordinateur personnel puisse se faire très discret dans le salon en ne ressemblant plus vraiment à un ordinateur.

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2000 – Apple Pro Mouse – « Une touche de transparence »

Avec l’Apple Pro Mouse, la souris devient enfin élégante et, comme il se doit, d’un design parfaitement coordonné aux autres équipements de bureau de la marque. Elle introduit, de plus, le capteur optique en lieu et place de la petite boule des modèles précédents.   

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2001 – PowerBook G4 Titanium – « Tout en élégance »

2001 voit apparaître un changement radical de design et l’adoption du PowerPC G4 pour certains des portables conçu du côté de Cupertino. Le plastique gris foncé et les lignes arrondies laissent place à un boîtier en Titane beaucoup plus lumineux à l’aspect sobre, élégant et aux contours francs.

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2001 – iMac Patterns – « A fleur ou à poids »

Histoire de ne pas s’endormir sur ses lauriers et d’alimenter l’engouement du public pour l’iMac, la société sort deux modèles décorés de graphismes teintés dans la masse : Flower Power et Dalmatien.  

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2001 – iBook G3 Dual USB – « Adieu la Palourde »

L’iBook, désormais affecté au marché grand public, change de look et ne ressemble plus du tout à un coquillage.  Les couleurs vives sont abandonnéesau profit du blanc, la poignée disparaîtet les lignes deviennent similaires à celle du grand frère le PowerBook G4 Titanium sorti 4 mois plus tôt.  

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2001- iPod – « Au-delà de l’ordinateur »

Ce sera le premier produit Apple n’étant pas directement et exclusivement dédié à un usage informatique. Il symbolise la vision stratégique qu’a  Steve Jobs du futur de l’informatique en général et de son entreprise en particulier. Le Mac doit et va devenir une plateforme numérique. Le choix se porte sur un baladeur musical car tout le monde ou presque  écoute de la musique et que cela représente un potentiel de clients énorme, des « Mac Maniacs » de la première heure à ceux qui ne sont même pas équipés d’un ordinateur personnel. Le développement de l’iPod, jusqu’à sa commercialisation, dura moins d’un an et sa sortie enverra presque instantanément au musée les quelques technologies et modèles de baladeurs audio qui existaient jusqu’alors.

Image 27 : Apple : une histoire de design

2002 – iMac 2002 – « Un air de lampe »

La deuxième génération d’iMac accueille le PowerPC G4 en changeant, là encore, radicalement de look au passage.  Il était toujours « tout-en-un » mais ressemblait cette fois à une lampe de bureau. L’unité centrale est logée dans le pied et l’écran plat perché sur un bras articulé est le premier périphérique d’affichage à cristaux liquides TFT à équiper un ordinateur de bureau. 

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2003 – PowerMac G5 – « Une tour d’alu »

La mode est à l’aluminium est c’est au tour des PowerMac de changer d’habit. Cela se produit à l’occasion du lancement du G5, animé par microprocesseur PowerPC 970 64 bits.      

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2003 – iSight – « Un nouvel œil »

D’un design parfaitement coordonné aux tous nouveaux PowerPC G5, l’iSight est la nouvelle et très élégante webcam de forme cylindrique lancée par la firme de Cupertino.  Elle n’est plus proposée sous cette forme depuis 2006 mais continue, dans sa version embarquée, à équiper tous les micros d’Apple.

Image 30 : Apple : une histoire de design

2004 – Apple iMac G5 – « Place à l’écran »

L’iMac G4 en forme de lampe de bureau pour certains, ou de tournesols pour d’autres, sorti en 2002 est remplacé peut après l’arrêt de sa commercialisation par l’iMac G5. C’est toujours un micro tout en un mais cette fois d’un design très différent puisque l’ensemble des composants est intégré derrière et sous l’écran plat TFT.  Apple va ainsi encore un peu plus loin dans l’intégration des différentes parties de l’ordinateur et dans la discrétion. 

Image 31 : Apple : une histoire de design

2005 – Mac Mini – « C’est dans la boîte »

Lointain descendant  du PowerMac Cube, le Mac Mini a été considérablement aplati, c’est désormais une petite boîte de 3,6 cm de haut, et très vigoureusement allégé : 1,37 Kg contre 6 Kg pour son ancêtre. Première chez Apple, le Mac Mini est livré sans clavier ni souris afin d’opérer un peu comme un cheval de Troie à destination d’une des nouvelles cibles de la société que représentent les « switchers », ces clients potentiels équipés de PC et possédant déjà des périphériques de saisie.

Image 32 : Apple : une histoire de design

2005 – iPod Shuffle – « Le sans écran »

Fort du succès planétaire de l’iPod, ce modèle d’entrée de gamme se caractérise par sa très petite taille, l’utilisation pour la première fois d’une mémoire Flash en lieu et place d’un disque dur, son mode de lecture aléatoire (shuffle) induit par l’absence d’écran et le nombre limité de boutons de commande et bien entendu son prix, beaucoup moins dissuasif que celui de l’iPod pour les clients restant à conquérir. La 2e génération (en photo) sera déclinée en 5 couleurs.

Image 33 : Apple : une histoire de design

2005 – iPod Nano – « Musique acidulée »

A l’automne 2005, l’iPod Nano vient succéder à l’iPod Mini sur le segment des baladeurs audio d’Apple situé entre l’iPod Shuffle et l’iPod. Le disque dur est remplacé par une mémoire flash de 2 ou 4 Go, autorisant un plus grand nombre d’usages (sportifs notamment) de par sa taille réduite et sa plus grande fiabilité. Il est également équipé d’un écran couleur afin de permettre le visionnage de photos. Comme pour le shuffle, il faudra attendre la 2e génération (en photo) pour voir l’arrivée des couleurs.     

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2007 – iPhone 1st Gen – « Un nouveau coup de maître »

Le bruit courait depuis un bon moment  … Apple allait faire une nouvelle incursion, après celle de l’iPod et d’iTunes, hors de son cœur de métier historique. Il pourrait même s’agir du secteur de la téléphonie, de fins limiers ayant découvert que la société avait acheté quelques mois plus tôt un nom de domaine Internet au nom très évocateur : iphone.com. En novembre 2007, le premier Smartphone estampillé d’une pomme faisait son apparition et annonçait une redistribution des cartes pour tous les fabricants tant sur le plan des technologies employée que sur celui du design, proche de la perfection.       

Image 35 : Apple : une histoire de design

2008 – MacBook Air – « Tout en finesse »

Bien que de dimension comparables en profondeur et en largeur  à celle du MacBook 13 pouces,  le MacBook Air fut présenté lors de sa sortie, à juste titre, comme l’ultra portable le plus fin du monde (de 4 mm sur la partie avant à 19 mm à l’arrière). Apple mettait ainsi la barre encore un peu plus haut dans le domaine des « ultra-portables ».

Image 36 : Apple : une histoire de design

2010 – iPad – « La renaissance de la tablette »

Ou comment faire du (très) neuf avec du (très) vieux mais en infiniment mieux. L’iPad est présenté par Steve Jobs au mois de Janvier 2010  à Sans Francisco lors d’une des grand-messes dont il a le secret. Il reprend en partie l’esprit du Newton Message Pad 100, qui fut un échec commercial a au début des années 90, tout en s’appuyant sur  l’expérience, couronnée de succès, acquise avec son petit cousin l’iPhone. L’iPad est-il un iPhone sans téléphone ? L’iPhone est-il un iPad qui téléphone ? A vous de juger.